On parle de « Ce qui ne nous tue pas »

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 » L’auteur signe un roman remarquable et puissant sur la difficulté à aller vers les autres, mais aussi à accepter leur aide. Une fois encore, Antoine Dole dessine un portrait poétique et violent de sa génération. Il n’en finit pas d’ausculter cette société où l’aliénation et l’isolement fusionnent mais où un sentiment est à lui seul, capable de déplacer des montagnes. »
Mathilde Dondeyne, Elle.fr

 » Ce roman empreint de poésie et merveilleusement écrit dresse un portrait au vitriol de notre société incapable d’aider ses enfants à grandir. Salutaire. »
Marie Rogatien, Le Figaro Magazine 

 » Si habile d’ordinaire à rendre compte des affres de la souffrance dans une langue ultra sensorielle, l’auteur excelle ici dans le cadre qu’il donne à ce huis-clos : un appartement vétuste chargé d’histoire dont la topographie émotionnelle est remarquablement bien rendue. On ne connaissait pas Antoine Dole si attentif à dépeindre les prisons dans lesquelles il enfermait ses personnages. En lisant « Ce qui ne nous tue pas » on devine que c’est le premier pas pour les en faire sortir. »
Librairies Récréalivres

 » C’est un roman poignant que nous offre Antoine Dole. Je conseille très fortement ce roman. Il m’a touchée bien plus que je ne le souhaitais. (…) Une lecture touchante, émouvante, incroyablement réaliste, et qui saura convaincre aussi bien le public ado que le public adulte. »
La Vie des Livres

 » Après de tonitruants débuts dans l’écriture (Je reviens de mourir, Laisse brûler, K-Cendres, tous chez Sarbacane), Antoine Dole n’assagit pas son écriture radicale ; il la tempère, la nuance et alterne au fil des chapitres voix intime et narration extérieure. De l’apprentissage de la douceur. »
Philippe-Jean Catinchi, Le Monde

 » L’écriture sensible, elle aussi à fleur de peau d’Antoine Dole, tisse un récit complexe, à la structure forte de symboles: l’un des fils se déroule à la première personne, l’autre à la troisième, l’un suit la chronologie des événements, l’autre la malmène, mais c’est pour se rejoindre en une scène finale où la colère cède la place à l’apaisement. »
Sylvie Neeman, Le Temps

 » Une rencontre bouleversante, d’une infinie tendresse, entre deux inconnues qui s’accordent quelques instants de paix. »
Magazine Je Bouquine

« Tel est l’enjeu de ce beau roman : apaiser la douleur de l’autre. Au fil des jours, la vieille dame et la jeune fille s’apprivoisent et se consolent. (…) L’écriture à la fois sensible et fébrile d’Antoine Dole saisit au plus près la métamorphose de deux coeurs cabossés« .
Magazine Phosphore 

 » Antoine Dole reprend la célèbre phrase de Nietzsche pour la pervertir et nous montrer que la douceur et la compassion sont des choses dignes d’intérêt. Et dans un monde qui glousse et qui se moque de tout, que ça fait du bien ! (…) Un roman à mettre entre toutes les mains. »
Laurent Nunez, Radio Vinci Autoroutes

« Un roman fort qui nous plonge avec justesse dans la tete et le parcours d’une jeune adolescente qui vit mal le divorce de ses parents. La rencontre avec Simone, une vieille femme aussi seule qu’elle, ces quelques jours de fugue, hors du temps, permettent à la jeune fille de se réconcilier avec elle-meme et les autres. »
Coup de coeur des libraires FNAC de Bourges

 » Pas facile la vie de collégien/lycéen ; pas facile de grandir ; pas facile de voir ses parents divorcer. Si Antoine Dole met parfaitement des mots sur cette colère, sur cette envie d’envoyer tout le monde promener, sur cette rage, son nouveau roman « Ce qui ne nous tue pas » ne se résume pas à ça. « Ce qui ne nous tue pas », c’est avant tout de la délicatesse, de la gentillesse, de l’apaisement, du don de soi, bien plus que de la colère. J’espère que quelque part, quelqu’un vit quelque chose d’aussi beau que ce que Lola et Simone ont vécu sous la plume d’Antoine Dole, qui signe un livre où la colère est d’un bel optimisme. »
Librairie Aux Mots Tordus (94)

« Ce qui ne nous tue pas, ou le très beau récit de l’adolescence, dans toute son incompréhension, sa tristesse et sa beauté aussi. »
Association Croqu’Livres

« C’est une magnifique histoire d’amour que nous livre ici Antoine Dole. La jeune Lola réapprend à aimer auprès de cette vieille dame, malgré le fait qu’elles ne se connaissent pas et surtout malgré leur différence de génération. Lola pensait avoir tout perdu, l’amour de ses parents comme la confiance de ses profs et de ses amis, mais grâce à son attachement pour Simone, elle redécouvre la vie sous un tout nouvel angle, et réapprend la chose essentielle qui lui manquait, la tendresse. Un joli roman dans lequel deux solitudes se croisent et en ressortent plus fortes. »
Lire en Tout Genre

 » Avec ce roman, Antoine Dole bascule dans la douceur. C’est avec surprise et bonheur que nous basculons avec lui dans cet état de fait. L’écriture est toujours aussi forte, le style s’arrondit. A la différence des précédents romans (« Laisse brûler », « K-Cendres », « A copier cent fois » aux éditions Sarbacane), Antoine Dole laisse transparaître sa fragilité. Une fragilité qui transcende son écriture, la rend plus forte encore. »
Lecture Jeunesse 83

 » La plume d’Antoine Dole est toujours aussi magnifique (…) Un énorme coup de cœur pour ce livre, c’est une histoire pleine de tendresse écrite avec la poésie que nous connaissons de l’auteur, ses mots nous touchent une fois de plus en plein cœur. »
Les Lectures de Val 

 » Antoine Dole ne cesse de nous surprendre à chacun de ses romans. Un style différent à chaque fois et pourtant la même poésie dans ses mots pour dépeindre une facette de notre époque, tantôt avec douceur, tantôt avec violence. (…) Le personnage de Lola n’est pas caricatural, il est d’une infinie justesse. Il y a dans les mots d’Antoine Dole la poésie du monde même dans son obscurité. La tendresse cachée dans ce roman ne laissera personne indifférent. »
En Coeur des Livres

« L’exacerbation dans la colère, dans la violence puis dans la fuite d’une peine inextinguible vécue par une jeune adolescente, Lola, face à l’explosion de son cadre familial. Et un salut apporté par une rencontre improbable, par une tendresse et une bienveillance portées à l’autre (une vieille dame), fragile et plus seule encore. Une manière inconsciente de s’extraire de sa propre douleur en s’évertuant à atténuer celle de l’autre, en toute humanité. Antoine Dole réussit à se renouveler dans ses thèmes et ses approches mais il frappe fort, toujours et toujours, très sensiblement. »
Stéphanie Bauche, libraire jeunesse

 » Les premiers romans d’Antoine Dole étaient marqués par la révolte, ainsi qu’une certaine dureté. Ici, l’ambiance est sensiblement la même, du moins dans les premiers chapitres. Puis on assiste à la lente métamorphose d’une héroïne qui expérimente la douceur… Il signe un superbe récit, très fort et émouvant. »
Gaëlle Farre, Librairie Maupetit, Magazine Page des Libraires 

 » Un roman court et bouleversant qui malgré sa noirceur, pose de vraies questions et surtout met des mots sur l’insupportable. Comme le dit le vieux proverbe que nous suggère le titre, «Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.» En tout cas, une chose est sûre : ce livre nous rend plus fort !  »
Jeunesocentres.fr 

« Ce qui m’a le plus séduite dans Ce qui ne nous tue pas, c’est incontestablement le style d’écriture d’Antoine Dole. Abrupte, incisif et détaillé, il transforme le moindre sentiment en une écriture touchante et marquante. Beaucoup de phrases m’ont interpellée et surtout beaucoup méritent d’être soulignées, retenues, tellement elles sont percutantes et parlantes. Ce style très poétique d’Antoine Dole c’est pour moi la force de Ce qui ne nous tue pas, ce qui donne au texte son caractère unique et nous transporte (…) Ce qui ne nous tue pas est un roman fort qui nous plonge avec justesse dans la tête et le parcours d’une jeune adolescente qui vit mal le divorce de ses parents et est aussi en situation de mal être. Cette rencontre avec Simone, ces quelques jours de fugue, hors du temps, permettent à la jeune fille de se réconcilier avec elle-même et les autres. Un très beau roman. »
LirAdo

« Coup de coeur ! C’est fort et émouvant, superbe. »
Les Fanas de Livres

« Chronique douce-amère d’un moment « entre deux », d’un « ré »apprentissage de la vie, de la douceur, de la tendresse… L’auteur, Antoine Dole, se glisse dans la peau de Lola et en fait la narratrice, ô combien touchante, de ce huis-clos remarquable, où chacune des deux protagonistes vit un moment de grâce, un moment suspendu hors le temps et hors le monde réel…qui finira par les rattraper. Un roman puissant sur la difficulté de communiquer, de partager, de s’ouvrir aux autres, sur la révolte et le mal être des ados, si grands mais si vulnérables et sur l’aliénation et la vieillesse renforcé par la narration par « flash back » et l’alternance des chapitres avec un narrateur interne ou externe. C’est très fort ! »
Opalivres

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